Paris n'est plus qu'un parapluie
seules y brillent les dorures
de statues frigorifiées
Paris n'est plus qu'un parapluie
seules y brillent les dorures
de statues frigorifiées
être un chat libre
être un chien perdu
ne pas vouloir de collier
être recherché par ses maîtres...
ça me fait penser... et moi je me trouve où ?
et vous ?...
aujourd'hui il a plu à peu près toute la journée... petite pluie tranquille laissant le promeneur faire ses photos et lambiner, puis s'insinuant, eau montant à l'assaut des chaussures, socquettes, puis imbibant largement le pantalon, l'anorak inutile
bon, on se change totalement arrivée à destination et on attend l'éclaircie pour ressortir, on attend, on attend, on attend
giboulées de mars fin mai, grisaille envahissante, ça fait penser à...
Bordeaux battue par les pluies
Bordeaux ruisselante
Bordeaux languissante
d'ailleurs
d'ici
... gêne en juillet !
si quelqu'un peut me dire quel arbre est à l'origine
de ce tapis ouateux ?...
et quelquefois se désaltérer est bien compliqué :
il faut s'y mettre à deux...
au fil d'un dimanche de rangement, pâtisserie, lavage de vitres... un petit rinçage du chapeau de la poupée qui veille sur les noix...
et puis étendage dudit chapeau...
et puis mon regard dessus...
pourquoi ne pas fixer ce détail de mon quotidien un peu inhabituel ? ça vous a une petite tonalité estivale qui s'accorde au temps chaud !
on a eu chaud oui :
un dinosaure a tenté de s'échapper !
puisqu'on parle de Vanité :
un symbole de vanité que j'aurais envie de décliner en...
virilité ?
visibilité ?
virtualité ?