cette chanson des Sparks me hante depuis 1979,
date à laquelle je l'ai découverte,
sur un disque qui traînait à l'hôtel où je travaillais
je vais en copier le texte au bas de l'article...
Le guide me montre et explique "Celui ci est le changement"
Les touristes s'en donnent à coeur joie, ils touchent mon marbre froid
Mais mes yeux sont fixés sur la porte
Je sais pourtant que je dois rester parmi tous ces héros tués
Protégeant leur liberté de vivre dans des musées
Mais mes yeux sont fixés sur la porte
Essayez donc de m'enlever, je voudrais voir si vous l’osez
Quelqu'un a entendu ma supplique, depuis quelques heures, je vole
Mais à l'aurore elle me quittera et les murs se refermeront sur moi
il ne restera plus que le marbre froid froid froid froid...
.
(parc de Choisy)
"tu sais combien de fois j'ai été en prison ?
...
tu sais combien de fois ? !!!
...
et bien vas voir mon cadastre !..."
cet homme est un pays...
.
chapitre II de cette mini série
dans cette chanson-là, j'entends l'existence en fin de course d'un père racontée par sa fille
(je sais que Barbara évoquait bien la mort de son père)
pour moi cette chanson, Nantes, a des accents sereins, un caractère réconciliateur
à défaut de l'écouter par son auteur compositeur Guy Béart :
comment j'entends cette chanson ?
comme les dernières heures d'une mère écrites par un fils
la narration, aigüe et pénétrante, est à mon avis magnifique
un beau gorille sur le mur près de la Halle Saint Pierre
c'est un collage de fourrure, ça rend vraiment bien
quelle belle occasion d'écouter Brassens !
cette fois-ci, c'est The voice
pas d'anglicisme pour frimer : c'est ainsi qu'on appelle Frank Sinatra
je suis accro à cette voix au point de pouvoir la comparer à une drogue
donc je n'explique pas, ne m'attends pas à ce que l'on comprenne
oui, la voix de Sinatra, c'est une histoire entre lui et moi
parmi les très belles chansons, car les paroles et musiques sont en général de qualité, j'ai un penchant spécial pour That's life
les paroles de cette chanson sont propres à, sinon nous tirer du très bas où l'on sombre parfois, au moins à nous accompagner, avec son étincelle de vie-malgré-tout, dans un rebond opiniâtre