12 mai 2010
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20:09
(Ostende)
La mer a l’air sale, et de se dépêcher
les ferries se croisent sans un mot
la neige croque ce qui me resterait de souplesse
Là il faut vraiment atteindre le sable léché, la neige fondue
puis avancer de neuf grands pas tout droit sans tourner yeux ni tête
pour retrouver une réalité de mer
et la nacre qui répand les reflets du couchant en de multiples brillances.