°°° puisque l'on ne peut s'abonner ou mettre un lien correctement, voici la photo du mois de mon site ... résultat ?... cet article n'est pas une histoire sans paroles mais une photo sans image ! °°°
des mots qui allument des images dans le coeur une ville rousse en sonorités de sous-bois un pays de granit chair et cet homme au souffle minéral fait un pont entre sa réalité et mon imaginaire
. . vers 13 heures, dans le parc : ce type, la trentaine, disant à la sexagénaire l'accompagnant : "tu peux être inséminée, tu peux te faire faire tout ce que tu veux !" . .
(Bellagio) Huit versants confondent leurs flancs dans la brume vespérale qui baigne eau ciel terre Ils plongent dans le lac un rêve fragile hésitant et persistant ainsi les lumières du soir étagées ou alanguies Clignement des yeux d’un enfant fatigué...
. dans un déballage d’ailes d’anges Tiepolo fuit en Egypte sans oublier le panier à provisions. .
perdre graisse corporelle c'est l'intitulé d'une publicité que j'ai croisée sur internet quant à la graisse mentale ? on n'en parle pas ...
Ce 28 mars, dans la matinée, j'ai fini ma théière à coups de marteau. Puis, dans l'après-midi, j'ai bu du lait. Choses non habituelles.
. accroche-toi au bateau, j'enlève la mer (pourvu que le néant s'approche) .
la vieillesse est extrêmement vite déjà bientôt le soleil est toujours un même toucher sur la peau
Un jeudi 2 octobre, dans la rue sale semée d'hommes piétinant leur soirée sur place, une voix féminine disait : "Pour l'amour d'un homme - temps d'arrêt - l'amour d'un homme". La voix était affirmative et rêveuse, dubitative et émerveillée.
Je vais essayer de jouer le jeu nous allons recoller les notes du thème mais les vieux fantômes reviennent parfois encore persistent à vouloir nous causer maints dommages et une montgolfière m’élève l’âme. cette altitude au coeur, cocktail en or.
. Un jour, je vis de loin ma chatte assise dans la cuisine, tête levée, semblant fascinée. Lorsque je m'approchai je découvris le grille-pain en feu, qu'elle contemplait comme un beau spectacle à son intention. .
- Dordogne ce soir-là, je glissais à travers le code-barre lumineux que projetaient les arbres et léchais jusqu’à plus soif une route de fin du monde au cœur de la France de mon enfance
cet avion dans le ciel qui ne bouge pas c’est la lune. c’est la lune qui transporte nos rêves à l’immobile d’une pensée nocturne.
- RER B Dans le wagon il y a une affiche publicitaire vantant les mérites de l’établissement pénitentiaire local. on y voit un majordome et une femme de chambre dans le hall d’un hôtel particulier serrant contre eux l’enfant qu’ils ont enlevé.
Le 7 août 2003 j'ai dîné à la mosquée de Paris avec un charmant chanteur d'opéra, une Allemande à fossettes et un beau Brésilien infidèle. La cuisine était moyenne, le service minable.
(Pyla sur mer) un courant d’or vient lécher la grève en diagonale du soleil perché sur un amoncellement de nuages dans mon dos progresse le ciel de neige à l’envers du large poussé par les terres le bassin me bassine sa beauté imperturbable sa bonté saline...
Qu’est-ce qui se passe, ici ?... ... il n’y a plus de couleurs ??? ça ne va pas ça… ah b on… on dirait que ça rev ie nt ! u ne panne, encore ! à fo rce de licencier à tout va et de réd uire les bud ge ts voilà ce qui ar ri ve ! Il nous fa udrait une bonne...
Ce 28 mars-là, dans la matinée, j'ai fini ma théière à coups de marteau. Puis, dans l'après-midi, j'ai bu du lait. Choses non habituelles.
je ne me lasse pas de celle-là :
très doux sable joli fin piétinons le même chemin qui nous appuie vertical au temps" .
"j'ai fait un prélèvement, mais il s'est avéré que c'était juste de la chair humaine" (...?...)
la bonne mettait quantité de lessive dans le doseur. comme si tout poussait nos pensées vers une idée à laquelle nous n’arrivons jamais.
les pétales du cerisier-fleur derrière le carreau ils soulignent la grisaille du rebord de fenêtre.
o u f ! :)