Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;
une larme tombée sur le bois de la table laisse le lendemain un souvenir salin
quand il neige tout n'est pas blanc
Lorsque les cristaux de neige agglomérés en flocons sont suffisamment lourds pour vaincre les courants ascendants qui règnent dans le nuage, ils tombent. Et lorsqu'ils essayent de prendre le métro et s'amassent entre deux escaliers mécaniques, c'est rigolo...
l'hiver !
j'ai croisé ça dans le métro et ça m'énerve beaucoup ce gaspillage d'énergie avec les écrans partout et cette invasion de pub avec des choses à consommer si on cassait ?
si j'écris, j'écris peu si j'écris ce n'est pas en tapotant
quand les gens mangeaient des cochonneries
je regarde d'autres animaux plus vifs, moins trompeurs
pas les yeux dans ma poche heureusement... au milieu des tours et près du bitume, je vois ça :
je suis entêtée ce parfum n'a pas le terrorisme de celui du mimosa on va bien voir comment la cohabitation se fera...
à Paris ce 9 avril on a froid au Bénin on espère la pluie...
le printemps, cette année ?... hum... je dirai... minimaliste !
un bleu idée de mers lointaines un sourire "chat de cheshire" elle s'esquive déjà et nous laisse à nos gribouillis graisseux à notre grisaille rouillée à notre ruine
ne sera pas éternellement d'enfer
qu’il se termine ce jour en boucle sur le bonheur
ou on fait du sur place ???
rencontre entre deux graphismes de rue : un pochoir et un collage
c'est pas moi qui le dit : nous avons comme une prédestination aux tâches ménagères... ... selon les sociétés ! qu'elles l'expriment de façon claire ou le cachent avec habileté
j'ai larciné j'en ai la preuve et je ne regrette rien ce printemps est pour moi pour rapporter mon larcin à son échelle :
que ça roule...
ce soir-là, rentrant de Montparnasse en bus, je les ai surpris discutant d'un badaud qui ne voyait rien
... photo attrapée : je n'y suis pas allée assez fort mon souffle a creusé un cratère dans les aigrettes (comment un nom aussi... aigre pour quelque chose de si doux ?)
2 roues pour 2 pieds ... ... et de nombreux "coups de main" ! les adhérents à l'association française Sur 2 pieds danser soutiennent le projet d'atelier mécanique et artistique au Burkina merci à eux ! vous trouverez des nouvelles récentes ici
lilas lilas monte bon gré malgré tout et se grandit maigre, tenace, entêté, narguant la fenêtre fermée elle fermée à jamais de ce côté lui s'en fout il va tout manger