je n'en crois pas mes yeux alors c'est vrai ? il existe un gaz hilarant ? !!!
je vais lancer cette collection d'échafaudages et palissades : de quoi se projeter vers l'avenir ou se mettre des barrières, au choix de chacun !
au gré de la déambulation des questions traversent l'esprit : qui peut apparaître à cette fenêtre ?...
les abords ne sont pas franchement engageants tout de même... quoique... des trésors dorment parfois sous un pavé et des princes égarés dans la paille d'une étable
corps armuré savamment bouclié respirer ne se laisse qu’intersticiellement .......................................... .......................................... .......................................... ah !.... passer un soupir !
la descente nous mets si bas qu'il n'est pas rare que nous devions lever la tête et le regard on ne sait alors plus ce qui est ouvert, ce qui est fermé ce qui est reflet, ce qui est vitrage, ce qui est... ciel ?
nombreuses sont les invites à s'élever et pourtant... est-ce la paresse du début d'après midi ? la curiosité éveillée par ces orifices bizarres ? il n'est pas rare que les étages restent inexplorés
... aura-t-il raison de ma résistance ? vous le saurez demain... si je ne poste plus c'est que ce dernier repas m'aura été fatal (on met du piquant dans sa vie comme on peut, n'est-ce pas...)
si je flotte, dans cette existence, c’est que je me cogne aux lumières comme aux coins d’ombre
le blanc-bec
non non, pas de surprise pour vous ! c'est moi qui me suis surprise aujourd'hui à ne pas avoir préparé d'article... bon alors voilà, comme c'est le 1er mai, jour du travail où l'on ne travaille pas, j'ai une raison toute trouvée...
et fin de la série : bonne nuit !
l'oiseau qui n'a pas envie de choisir la gauche ou la droite alors je le garde ainsi, cadré plein centre heureux de son feuillage c'est un calao...
Emmaüs toujours : palette de couleurs pour palettes échouées
certains s'échauffent enfin... croient s'échauffer... mais sait-on que loin d'ici dans la chaleur insistante de saisons interminables, des baisers fougueux s'éternisent au point d'ensabler les amoureux ?...
cahin caha
l'amitié a confiance l'amitié avance à découvert l'amitié franchit les distances et parfois l'amitié nourrit réellement en parlant aux papilles et en parlant du pays
la terre sur les lèvres
des lieux amis nature et gens
la voilà, la station dont parlait Pastelle oui, sous cet angle elle est jolie... et la lumière à travers les persiennes et le graphisme du vieil escalier mais... une vie ainsi ? je n'en veux plus...
corps et substance
voyages au-delà du principe d'Archimède avec Paul Fernandez et ses suiveuses
... dans la vitrine ? si vous ne connaissez pas la chanson à laquelle je fais allusion ce sera peine perdue sinon, elle va peut être vous rester coincée dans la tête toute la sainte journée !
un soupçon de légende
(pour jouer avec Pastelle) ouvrir les yeux et prendre la main tendue