pas le temps... (non pas que je bulle !...)
alors recours à une bulle :
le pied de tomate se jette du second étage
si, si !
il faut se le dire
c'est l'été
quittant pour une pause dominicale Lyon, je romps avec son ambiance mi réelle mi féerique pour un sujet mi... mi quoi ?...
j'ai découvert la confrontation cruciale entre deux thèses fondamentalement opposées au salon de la bibliophilie de Saint Sulpice ; le propriétaire du stand, qui a gentiment accepté que je fasse la photographie, ne comprenait pas vraiment ce que j'avais vu là...
le débat est relancé !...
je n'en reviens pas...
c'est juste un petit coup de schizophrénie télécommunicante (pas télécommunicative, ne craignez rien !)
... une action éclair des lutins cachés derrière ma dirty box ("sale boîte" pour les anglophobes)
j'explique pour les "qui-ne-connaissent-pas-l'excitante-vie-de-l'abonné-à-France-Telecom (je ne sais s'ils s'appellent encore comme ça...) et-à-un-fournisseur-d'accès-à-internet" : histoire de me ruiner un peu et afin de prévenir une défaillance du FAI j'avais conservé un abonnement au premier ; j'étais jusqu'à aujourd'hui en morceaux mais pas totalement... c'est maintenant fait : totalement dégroupée la fille !... ça ne gêne pas mon côté sauvage finalement...
j'ai désactivé le message qui prévenait d'une coupure probable et qui inquiétait les personnes qui m'envoyaient des courriels ces jours-ci : amusant d'ailleurs comme chacun y lisait ce qu'il voulait bien, sans parler de ceux qui recevaient 2 fois le message parce qu'ils y répondaient...
bref, pas de photo, je blogue pour de bon aujourd'hui : je raconte ma vie en direct, et l'article de la série "Descente en traboules" suit de près...
voilou... je vais maintenant méditer sur être et avoir : "vaut-il mieux être dégroupée ou avoir des groupies" ???"
... aura-t-il raison de ma résistance ?
vous le saurez demain...
si je ne poste plus c'est que ce dernier repas m'aura été fatal
(on met du piquant dans sa vie comme on peut,
n'est-ce pas...)
hier soir j'ai pris le TGR,
le Train à Grand Retard
(1h26 de retard)...
les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des chats ou des situations existantes ne saurait être que fortuite
je suis troublée
jusqu'à il y a peu, je voyais - avec un serrement de coeur - trois jaguars dans la rue, le matin
or voilà que depuis quelques jours, il y en a quatre, pitoyables, le long du trottoir, même pas à l'abri d'un toit
une question lancinante me préoccupe : de quand date leur dernier plein ???
et je n'ose vous dire le comble : le 4ème spécimen vient... de Suisse ! oui, on en est là, les jaguars Suisses se réfugient désormais en France
que fait la SPA me direz-vous ? rien ! ces véhicules peuvent s'aligner à l'infini dans les rues du 16e arrondissement, nul, ne s'en soucie... quelle misère !...
par égard pour elles, pour ne pas sembler profiter de leur détresse, (et pour éviter d'attirer l'attention
des propriétaires sur mon petit manège 
) je renonce à les prendre en photo...
... mais de toutes façons elles se ressemblent toutes !
allez, je vais mettre un chat : ça fait moins de dégâts que les jaguars les chats...
je l'ai peut être déjà mis mais il est si beau...
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