les extrêmes de l'Afrique
comme dans un jeu dont il faut accepter d'être le jouet
les extrêmes de l'Afrique
comme dans un jeu dont il faut accepter d'être le jouet
non, la route n'était pas barrée...
et nous l'avons suivie dans tellement de directions, pour tellement de rencontres (même fugaces) que je ne me retrouve pas très bien dans cette errance à travers les photos : trop d'images ? dissonance entre la réalité et la mémoire ? illusion de la transmission ?
ou alors trop de questions, que je vais faire taire, pour faire parler une autre image... entendez-y ce que pouvez ou ce que voulez !
la surprise
la nuit je dormais... façon de parler
je contemplais ma décrépitude
j'écoutais les bruits
je rêvassais
à 5 h la mosquée répandait son appel
à 6 h elle recommençait
tout le monde était déjà levé
je rêvassais
il paraît qu'il y a une blanche qui crèche ici ?
à l'oeuvre et à l'ouvrage
la beauté des femmes
sans nul fard
et parfois de l'eau comme un mirage
où viennent s'abreuver les zébus
magie de l'Afrique...
les racines,
le soleil...
... au pays des hommes intègres
(en cliquant sur le sous-titre vous atteindrez la description chronologique,
alimentée régulièrement, de ce bref séjour)
le voyage est grand car j’y suis petite
le continent immense, et mon passage là-bas n’a duré qu’une poignée de jours
l’Afrique me claque encore pourtant au cœur et les impressions perdureront : cette rencontre était dans le fil de ma recherche et rien n’y a été insignifiant
entre deux mondes, une maison ; là, il y a encore l’eau courante, un beau jardin entretenu
là, il y a déjà des couleurs et des odeurs, des bruits, qui me disent que tout sera surprise, que par tous les pores, l’Afrique m’accueillera très intimement